ADIEU LE PERE

Macklaure, on t'appelait
Or, tu étais bien plus que cela,
Utile tu l'as été comme père.
Libre dans ton comportement et tes réfelxions,
Amical dans tes moments de loisir,
Rien ne pouvait arrêter ta colère.
Et tout le sanwi te pleure car
Triste fût ta fin.

Alors que tu parlais de sens de la famille,
Kôkôkô, tu passas de vie à trépas
Avec l'ingratitude de ceux qui bénéficièrent de tes largesses.

La Bia, et la Tanoé ces fleuves en froid,
Avouèrent leur défaite devant tant de souffrance ténébreuse.
Une fois encore, JÉSUS seul est la solution....
Ribambelle d'enfants, tu en fis vingt-deux dont cinq te précédèrent.
Et aujourd'hui ton existence est un enseignement
Ne laissant guère indifférent.
Toi papa, MOULARET AKA LAURENT, je te dis adieu.