Aujourd'hui plus qu'hier, je me pose des questions sur les critères qui vont militer en faveur du vote de tele ou tel candidat à l'élection présidentielle au soir du 28 novembre 2010.
Depuis 1990, un certain discours ivoiritaire s'est fait jour dans notre pys avec en toile de mire le candidat du RHDP qui alors apparaissait aux ivoiriens comme un quidam. ce discours s'est enraciné et s'est même cristallisée sous le régime PDCI de Konan BEDIE. On n'oubliera pas les mandats d'arrêt internationaux et le code foncier rural et les documents falsifiés exhibés à l'époque.
Avec Laurent GBAGBO, la nation ayant pris acte de ce fait divers a décidé d'avancer en eau profonde pour son développement.Malheureusement, 2002, reste un souvenir noir dans la mémoire collective.
A ce jour, chaque candidat essaie de présenter un programme de gouvernement et un projet de société qui tiennent compte de la nation ivoirienne dans sa diversité. Mais à l'analyse du discours des candidats opposants, le concept ivoiritaire fait son grand retour. Les ivoiriens sont dans une situation telle qu'ils refuset de voir les rênes de leur pays tenues par un gnac d'origine et cela est symptomatique du désir de vaincre le signe indien une fois pour toutes. Les déclarations ont commencé et se poursuivent et les campagnes pour le second tour commencent le samedi à minuit.
Même les religieux se mêlent à la danse car j'ai entendu des pasteurs irresponsableset déviationnistes se lancent dans ce genre dde discours ivoiritaires pour enflammer les églises. Shame unto them! Aussi les immams terrorristes et braqueurs scandent le vote obligatoire de tel candidat au nom de la religion, ce qui est criminel. C'est le religieux qui doit éclairere le politique et non être manipulé par lui.
Wait and see!
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