vendredi 28 janvier 2011

Repenser la coopération internationale

Dans la situation de crise qu'elle traverse, la Côte d'Ivoire n'a plus d'amis sinon très peu. Elles'est fortement engagée dans des organisations internationales au sein desquelles, elle apporte beaucoup mais aujourd'hui celles-ci veulent la voir périr.

Dans la crise qui oppose le Président Gbagbo et Monsieur Ouattara, nombreux sont ceux qui préconisent la force ou la guerre pour résoudre la question. Et ce, en faveur d'un malheureux candidat.

La guerre peut-elle vraiment arranger les choses? Comment en tant qu'africains on peut valablement souhaiter la guerre alors nous avons toujours régler nos contentieux sous l'arbre à palabre. Est-on aussi immatures pour se laisser dicter notre conduite par la France de Sarko qui dit sans gêne: casse-toi sale con! La guerre endeuille des familles et ce sont les innocents qui payent le plus lourd tribut. Pensons-y!

Quand l'UEMOA se mêle de la politique pour faire plaisir à la France, on est encore enfants devant l'occident car c'est d'elle que doit venir notre légitimité.

La CEDEAO quant à elle, attend l’ordre de l'ONU pour faire débarquer l'ECOMOG en Côte d'Ivoire pour chasser Gbagbo du pouvoir.

L'union Africaine demande à Gbagbo de quitter le pouvoir et maintenant, est dispersée sur les moyens à mettre en oeuvre comme si elle n'avait pas de textes.

Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire doit repenser sa coopération internationale et avoir une attitude critique vis-à-vis des Organisations Internationales. Il faut claquer la porte car on n'en mourra pas. Seuls les ivoiriens doivent régler leur problème et Comme ADO n'est pas Ivoirien, il peut se retirer sans histoire et retourner au Burkina Faso.

Mais désormais, on limite nos adhésions aux différentes organisations africaines qui ne sont que des marionnettes.

Côte d'Ivoire et Francophonie

Le 20 mars 1970 à Niamey, la Côte d'ivoire adhérait à l'Accord de Coopération Culturelle et Technique (ACCT),dont les pères fondateurs demeurent: Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Amani Diori du Niger et Habib Bourguiba de la Tunisie. A ceux-là s'ajoutent Félix Houphouët-Boigny de la Côte d'Ivoie et Norodom Sianouk du Cambodge.

Cet accord devait renforcer les liens entre nations ayant la langue française en partage avait un domaine d'intervention, comme son nom l'indique, à la fois culturel et technique. Faisant son chemin, cet accord deviendra Agence Internationale de la Francophonie(AIF), puis Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) en 2005 à Tana.

Dans sa politique de scolarisation et de développement, la Côte d'Ivoire a mis l'accent sur le développement de la langue française. Elle a fédéré les énergies de ses fils et ses filles, et a bâti la nation sur le fondement de cette langue qui est aujourd'hui la langue véhiculaire. Elle n'a pas de langue nationale à l'instar du Cameroun ou du Gabon, déterminant son identité culturelle, et compte 22% de locuteurs francophones.

Notre pays a de tout temps affiché son attachement à la Francophonie à cause de ses valeurs qu'elle partage fortement à savoir: le partage, la solidarité, le dialogue des cultures, la diversité culturelle, le respect des instituions et de la souveraineté nationales de ses Etats membres, le respect de la démocratie et des droits de l'homme, le développement économique et social de ses populations.

dans le milieu des années 90, les dirigeants de cette nation ont créé un ministère de la Culture et de la Francophonie, pour signifier au niveau institutionnel, leur attachement à cette institution et tout l'intérêt qu'ils lui accordent.

En 2002, le Président de la République, Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo a pris l'initiative de créer l'Agence Ivoirienne de Coopération Francophone (AICF), un Etablissement Publique National qui a pour mission principale de rendre visibles et lisibles les actions de la Francophonie en Côte d'Ivoire. C'est d'ailleurs le seul Etat au monde à l'avoir fait, car ailleurs, ce sont des commissions nationales de la Francophonie.

Force est de constater que dans ces derniers temps, la Francophonie a déçu; surtout dans le cas de la crise ivoirienne dont le traitement par elle fait, suscite des inquiétudes.

Alors qu'en 2002, la Côte d'Ivoire est attaquée par une rébellion armée qui vole, viole et tue; et par conséquent porte atteinte à la démocratie, la Francophonie ne produit aucune condamnation. cette rébellion armée qui occupe 60% du territoire et exerce son autorité dans les zones centre nord et ouest, est soutenue financièrement et matériellement par la France et a pour base arrière, le Burkina Faso, des pays francophones. Cette situation semble apporter la bonne intelligence de la Francophonie qui jusque-là observe un statut-quo des plus mortuaires.

On a là les prémices d'une conspiration contre la Côte d'Ivoire car la Francophonie, qui milite pour le respect de la démocratie et des droits semble ramer à contre-courant de ses propres idéaux de paix. la prise de pouvoir par les armes, je dirai par la force, doit être rejetée de façon catégorique; mais rien du tout.

Livrée à elle-même et dépourvue de tout soutien, la Côte d'Ivoire n'est cependant pas sanctionnée ni suspendue des instances de la Francophonie; bizarrerie. en 2010, elle arrive à organiser des élections présidentielles après les plus fortes pressions qu'un Chef d'Etat d'Afrique subsaharienne n'a jamais subies. Conséquence: les élections se tiennent sans désarmement de la part des rebelles qui sont simplement cantonnés ou encasernés.

Les élections aiguisent la curiosité de la Francophonie qui dépêche une délégation aux deux tours, conduite par Latortue avec des observateurs qui ne visitent même pas le millième des 20.000 bureaux de vote, mais plutôt dorment dans hôtels cossus.

Ces élections se tiennent dans un climat de relatives tensions au premier tour, n’entachent pas la régularité du scrutin qui va jusqu'à son terme et est certifié par l'ONU en Côte d'ivoire, après la proclamation des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel.

On a un deuxième tour qui oppose tampiri à woody. le jour du scrutin qui doit marquer la rupture de l'Etat de non droit pour un retour à la paix, marquant ainsi la sortie de rise, les rebelles sortent des casernes, reprennent les armes et envahissent les bureaux de votent. De nombreux observateurs dénoncent les violations des droits de l'homme sur les représentants du candidat Gbagbo qui sont molestés, séquestrés, violentés, violés, tués et dont les familles sont menacées et les domiciles incendiés. Les urnes sont bourrées, les PV sont falsifiés, le processus de fraude est en marche quand DIEU lui-même ne fait pas 100% pou 100% de croyants, ADO faisant 500% de votants. C'est le comble de l'anarchie et l'ironie.

Saisi de ces cas graves de violations de la démocratie par La Majorité Présidentielle, le Conseil Constitutionnel en tien compte dans le verdict. Car entre temps, la CEI n'a pu rendre de résultats dans les délais impartis c'est-à-dire les 72 heures pour cause de blocage interne. Cette disposition étant d'ordre public, le délai est impératif. Il en découle une forclusion de plein droit de la CEI qui, dessaisie du dossier n'a plus droit au chapitre.

c'est dans cette atmosphère que le Conseil Constitutionnel, la plus haute juridiction du pays, donne les résultats définitifs du scrutin qui voit la victoire du candidat Gbagbo. Celui-ci prête serment de façon solennelle devant toutes les institutions de la république.

Pourtant, les ambassadeurs de France et des USA, après la forclusion de la CEI, prennent le président de cette institution et le condusient au QG d'ADO où il proclame de faux résultats donnant ADO vainqueur, devant des chaînes françaises qui sont comme au Rwanda, les médias de la mort. ce sont ces résultats que la communauté dite internationale retiennent et sur lesquelles elles se fondent pour affirmer la prétendue légitmité d'ADO.

Le 5 Décembre 2010, le Secrétaire Général de la Francophonie, Monsieur Abdou Diouf, a dans son communiqué sur la situation en Côte d'Ivoire, reconnu la victoire de Monsieur Allassane Ouattara car étant celle de la CEI dont les résultats ont été certifiés par l'ONUCI, Contrairement à la décison du Conseil constitutionnel. Et le 12 janvier 2011, réuni en session extraordinaire à Paris, le Conseil Permanent de la Francophonie ordonne au Président Gbagbo de quitter le pouvoir et de le remettre sans délai à monsieur Ouattara.

Or, au regard de ses textes fondamentaux que sont la charte de la Francophonie, la déclaration de saint-boniface et la déclration de Bamako, la Francophonie s'est engagée à respecter la souveraineté de ses Etats membres et à promouvoir la démocratie, les respect des institutions et le règlement des conflits par le dialogue. On se rend compte que la francophonie a outrepasser ses droits. En effet, elle violer sa propre neutralité et partant la souveraineté de la Côte d'ivoire en remettant en cause la décision du Conseil constitutionnel.

Que dire au regard de tout ceci?

La Francophonie est instrumentalisée par la France pour achever sa domination sur les petits Etats. Il est claire que les points de vue de la Francophonie sont en touts points semblables à ceux de la France, et ce depuis 2002.

La Côte d'Ivoire n'a pas été conviée à cette session extraordinaire du CPF de Janvier 2011. Une telle exclusion est significative de la place de notre pays au sein de cet autre machin. Et on peut lui tourner le dos, on peut en sortir pour la naissance de l'ivoirophonie. La décison du CPF manque de cohérence, de pertinence et de rigueur. C'est pourquoi nous nous insurgeons contre une telle décision et la rejetons vigoureusement.

La position de Monsieur Abdou Diouf est symptomatique des problèmes de personnes qui minent les êtres humains car à l'instar de M.Alpha Oumar Konaré, Le Président Gbagbo a estimé que les anciens présidents ne doivent pas postuler à des postes subalternes qui deviennent ainsi leur garage. Diouf est rancunier.


Pour ma part, de la même manière que nous devons quitter l'UEMOA, la CEDEAO et le Franc CFA, nous devons quitter la francophonie qui n'est qu'un bras de la nébuleuse françafrique. Une langue nationale, et l'anglais comme au Ghana; ça ne serait pas mal.

Rien que la paix!

c'est une denrée très rare et par conséquent précieuse qu'est la paix.
Mon pays la recherche et elle semble partir en voyage je ne sais où.
Elle donne souvent de ses nouvelles et disparaît de longs moments.

Elle met sur sa porte, présente
mais ne reçoit pas toujours et on commence à douter.
Lorsqu'on veut crier paix,
elle s'agite et devient hystérique
mais quand on lui dit que fais-tu?
Elle répond je risque de vous abandonner.
Pourquoi lui demande-t-on?

Vous êtes trop égoïstes, vous pensez à vous seuls et à vos proches,
mais vous ne pensez pas à la nation;
votre orgueil et votre avidité du pouvoir vous rongent
votre cupidité et votre ignorance vous aveuglent.

Moi paix, je n'aime pas les fraudeurs, ni les menteurs
et encore moins les blasphémateurs.
Je me moque de vos jérémiades
car elles ne guère sincères.
Le jour, vous m’appellez et la nuit vous m'outragez,
Vous n'avez pas d'amour pour moi sinon
vous feriez des sacrifices et renonceriez à vous-mêmes

Vous suivez les méchants et les mauvais conseillers
qui vous instruisent de me détruire;
et moi pourrais-je vivre dans un climat pareil
fait de ténèbres et de malfaiteurs.


Alors vous crierez et vous n'aurez de secours
qu'après moult épreuves
des minables géographiquement au nord des frontières
parlent de prendre leur responsabilité;
eux naguère vos croupiers, aujourd'hui vos bourreaux.

Pour me revoir, élevez-vous et résistez à vous mêmes,
je viens vers les coeurs brisés et je les console
car je viens de l’Éternel et
je suis le produit du prince de paix: JESUS-CHRIST!

Toujours la Côte d'Ivoire

Actuellement, mon chère et si beau pays est au coeur de toutes les controverses et de tous les débats à travers la planète. le fait est que la situation est actuellement complexe et le solutionne-ment difficile.

Mais il faut remonter dans l'histoire pour comprendre que des actes ont été posés et qui ont négativement influencé notre nation et des vérités ont été tues sur bien de choses les unes aussi importantes que les autres.

Aujourd'hui, il est temps d'en finir avec ces salamalecs qui compromettent gravement l'essor cette riche nation dont les potentialités méritent d'être valorisées sans plier l'échine devant qui que ce soit.

On continue la lutte!

jeudi 20 janvier 2011

Le combat demeure spirituel

DIEU ne fait rien au hasard. Il a dit dans sa parole qu'il nous donnait des pouvoirs et nous a même demandés de nous revêtir des armes spirituelles parce que la vie est un combat et le monde spirituel encore plus.
C'est pourquoi au-delà des marionnettes qui s'agitent dans cette crise ivoirienne, nous devons mieux analyser l'action satanique et la combattre au nom de JÉSUS. L’Éternel des armées combattra pour nous et nous aurons la victoire. Ne regardons pas autour de nous mais levons les yeux vers les montagnes car le secours vient de l’Éternel qui a fait les cieux et la terre. Dans l'humilité et la repentance, invoquons DIEU de tout notre coeur et soyons surs qu'en le faisant, il nous répondra, car Il n'abandonne jamais ses enfants.

L'ennemi dévoilé

Comme disait Job : "mes oreilles avaient entendu parler de toi mais maintenant mes yeux t'ont vu". Je peux appliquer cette citation biblique à la situation que traverse mon pays la Côte d'Ivoire.
Alors que nous pensions et oeuvrions pour une intégration effective orbi et urbi, voilà que la crise post-électorale que nous traversons permet de constater la haine et la jalousie qui habitent les nations alentour avec lesquelles, nous croyions partager un destin commun.
Les masques sont tombés et les oeuvres des ténèbres sont dévoilées car dans une situation de tristesse, nous voyons nos vrais amis et on en a que très peu. D'amis s'il y en a, les intérêts passent avant.
Même les insignifiants se donnent de l'importance par des menaces amusantes sur fond de ballet de sorcières dans des confréries vouées à la colère du DIEU d'Israël. Qu'ils ne se hasardent pas à vouloir exécuter leurs sales besognes car ils boiront leurs urines et mangeront leurs excréments.

QUELLE SITUATION?

Je reviens de loin avec mon si beau pays la Côte d'Ivoire que des parvenus veulent mettre sens dessus-dessous. Mais ils périront et tomberont dans leurs propres pièges car DIEU ne permettra pas qu'un pays, le plus hospitalier au monde connaisse la ruine.
Aujourd'hui, on nous parle d'écomog et demain de quoi nous parlera-t-on? La guerre, on en a un avant-goût et on sait ce que ça peut causer comme dégâts, raison pour laquelle, aucune intervention militaire ne doit être envisagée.