Dans la situation de crise qu'elle traverse, la Côte d'Ivoire n'a plus d'amis sinon très peu. Elles'est fortement engagée dans des organisations internationales au sein desquelles, elle apporte beaucoup mais aujourd'hui celles-ci veulent la voir périr.
Dans la crise qui oppose le Président Gbagbo et Monsieur Ouattara, nombreux sont ceux qui préconisent la force ou la guerre pour résoudre la question. Et ce, en faveur d'un malheureux candidat.
La guerre peut-elle vraiment arranger les choses? Comment en tant qu'africains on peut valablement souhaiter la guerre alors nous avons toujours régler nos contentieux sous l'arbre à palabre. Est-on aussi immatures pour se laisser dicter notre conduite par la France de Sarko qui dit sans gêne: casse-toi sale con! La guerre endeuille des familles et ce sont les innocents qui payent le plus lourd tribut. Pensons-y!
Quand l'UEMOA se mêle de la politique pour faire plaisir à la France, on est encore enfants devant l'occident car c'est d'elle que doit venir notre légitimité.
La CEDEAO quant à elle, attend l’ordre de l'ONU pour faire débarquer l'ECOMOG en Côte d'Ivoire pour chasser Gbagbo du pouvoir.
L'union Africaine demande à Gbagbo de quitter le pouvoir et maintenant, est dispersée sur les moyens à mettre en oeuvre comme si elle n'avait pas de textes.
Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire doit repenser sa coopération internationale et avoir une attitude critique vis-à-vis des Organisations Internationales. Il faut claquer la porte car on n'en mourra pas. Seuls les ivoiriens doivent régler leur problème et Comme ADO n'est pas Ivoirien, il peut se retirer sans histoire et retourner au Burkina Faso.
Mais désormais, on limite nos adhésions aux différentes organisations africaines qui ne sont que des marionnettes.
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