La formation que je suis actuellement en Egypte m'est beaucoup pénible vu que j'ai vraiment cesser de bosser en tant qu'étudiant depuis 2001. Il faut faire appel aux vieux réflexes de la fac et là j'en peux plus. Pour mon mémoire, je réfléchis sur la question de la promotion du livre par les radios de proximité ivoiriennes: voir quelles stratégies mettre en place pour institutionnaliser le livre dans cette société africaine aux moeurs caractérisées par l'oralité.
J'espère qu'au sortir de cette formation j'aurai de quoi bouster la politique du livre dans mon pays encore que je ne rencontre pas la muraille de conservateurs hostile aux changements.
1 commentaire:
J'allais dire, que tu peux toujours rêver que les choses vont bouger. Comme toi j'ai espoir que cela va aller pour le mieux en Afrique bientôt.
L'oralité n'est pas un problème en soi. Il s'agit et il s'agira de conjuguer les situations qui existent et qui se présenteront une fois au sortir de cette formation.
Encore un peu de courage. La fin du calver c'est pour bientôt
Luidor
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