vendredi 25 mai 2012

FOURSQUARE ADIAKE: ACTIVITES DU DEPARTEMENT DES HOMMES

Le samedi, 19 mai 2012, le département des hommes de l'église Foursquare d'Adiaké a organiser un séminaire sur l'administration au sein de l'église. Ce séminaire a duré de 14h00mn à 18h00mn avec une pause café. Ayant pour objectif de lutter contre le désordre au sein de l'église et de faciliter la confection et la mise à disposition des documents à l'endroit du conseil, ce séminaire a permis de comprendre de nombreux points d'habitudes qui sont en vérité des faiblesses du système administratif au sein de l'église. 

Ce séminaire a été animé par 3 membres du département des hommes à savoir le Diacre GOLE, le Diacre DJE-BI et le frère MOULARET, responsable du département. 

Ayant enregistré une vingtaine de participants, ce séminaire a bordé la question de la gestion des ressources humaines, la gestion des ressources matérielles et la gestion des ressources financières. Il a permis de mettre en lumière le management biblique tel qu'illustré par de grands personnages comme Joseph, Moïse et Néhémie. mais au-delà, il a permis de comprendre les réalités de l'exercice budgétaire, les charges de l'église et les ressources nécessaires à son fonctionnement. Cela a été l'occasion de présenter le fonctionnement normal de l'église selon les statuts, le règlement intérieur et le manuel des pasteurs qui sont des sources d'information assez faibles mais utiles et qui méritent d'être actualisées.

Il a été retenu que de tels programmes doivent être organisés pour permettre à l'église de développer les compétences dont elle regorge par l'implication du laïcat souvent très versé dans certains domaines utiles à la croissance de l'église.

FOURSQUARE ADIAKE: ACTIVITES DU DEPARTEMENT DE LA FAMILLE










Le dimanche 20 mai 2012 dernier, le département de la famille de l'église Foursquare d'Adiaké a tenu une de ses réunions hebdomadaires. Cette réunion de prière se tenait dans le domicile de la famille MOULARET. Entamée cette année ecclésiastique,  l'action du département de la famille de l'église Foursquare d'Adiaké s'inscrit dans la volonté de dynamiser la vie spirituelle de l'église à travers les familles et les couples.

Sous l'initiative du prophète KONAN Kouassi Moïse, ce département a pu visiter plus de la moitié des couples de l'église et envisage d'organiser une sortie détente sur fond d'enseignement biblique avec un serviteur de Dieu de Foursquare.

Pour ce dimanche dimanche20 mai dernier, la prière et la parole étant toujours au rendez-vous, ont permis aux personnes présentes de se soutenir mutellement dans la prière et d'couter la parole. Celle-ci a été donnée par le Diacre GOLE André, et a eu pour texte de base Gn.9:18-27. ce texte parlant de la nudité de Noé découverte par CHAM, a attiré sur ce-dernier la malédiction au point de perdre la paternité de canaan et de devenir esclave de ses frères SEM et JAPHET. 

La leçon qu'on en tire, c'est qu'il ne faut pas laisser notre nudité à découvert devant nos enfants au risque d'attirer sur eux la malédiction. En outre, par rapport à l'éthique chrétienne, il est incorrect pour un chrétien de laisser à grande vue les parties de son corps qui doivent normalement être cachées. 

Après avoir entendu ces paroles, la prière dans ce sens a été faite et la rencontre a pris fin par une collation offerte par la famille MOULARET dans une véritable atmosphère de joie et de communion fraternelle.

jeudi 24 mai 2012

FOURSQUARE PLATEAU DOKOUI: CULTE DU SOCIAL



Le dimanche 13 mai 2012, l'église Foursquare d'Adiaké a organisé la fête du social. le comité des oeuvres sociales avec à sa tête, Mme BRAWA Sylvie a célébré de brillante manière le cas social. Les effets de la crise qu'a connue notre pays ont laissé de nombreux nécessiteux et ce comité a choisi de pratiquer la vraie religion c'est-à-dire s'occuper des veuves et des orphelins et même des nécessiteux.
Avec pour thème:" l'âme bienfaisante sera rassasiée et celui qui arrose sera arrosé"(Prv.11:25), ce culte a permis de comprendre combien il est important de se souvenir de tous ceux qui traversent des moments difficiles (malades, prisonniers, sans abris, désœuvrés,..).
les stratégies pour la réussite d'un tel évènement sont pertinentes, dons en nature, dons en espèce, ventes aux enchères; ventes dont les revenus générés iront au comité pour faire face aux cas sociaux de l'église. On notait à ce ce culte des serviteurs et servantes de Dieu à savoir le prophète TAPE, l'évangéliste GNEPE Déborah, le prophète IBA et bien d'autres,..... Une pièce de théâtre a permis de sensibiliser le peuple de Dieu sur la nécessité d'agir avec libéralité. Autant d'éléments qui permettent de rendre gloire à Dieu.
Que le nom du Seigneur soit béni et félicitations à Mme Brawa et son équipe!

vendredi 18 mai 2012

PARLONS CLAC

Dans la lecture publique


les CLAC sont des centres à dimension culturelle implantés essentiellement dans les zones rurales et périurbaines favorisent le désenclavement des communautés bénéficiaires. Ils sont fréquentés par les écoliers, les jeunes, les femmes, les enseignants mais aussi les fonctionnaires locaux et les membres des associations de la société civile.
Chaque centre regroupe une bibliothèque, une salle polyvalente où se déroulent des animations culturelles, un équipement audiovisuel et, de plus en plus souvent, informatique. Constitués en réseau d’une dizaine d’unités pour créer une dynamique de partage et d’émulation, ces centres proposent des activités culturelles et sociales adaptées à leur public.
Un animateur permanent est affecté à chaque centre tandis le réseau est placé sous la responsabilité d’un coordonnateur chargé de veiller à la bonne marche de l’ensemble et de recueillir les statistiques de fréquentation. Chaque Centre de lecture et d’animation culturelle peut répondre aux besoins d’une communauté de 5 à 25 000 personnes.
Depuis l’inauguration de ce modèle en 1986, le succès des centres de lecture et d’animation culturelle n’a cessé de croître. En 2011, on compte 295 centres installés dans 21 pays francophones d’Afrique, de l’océan Indien, de la Caraïbe et du Proche-Orient.
Leurs bibliothèques attirent plus de 3 millions de visiteurs par an et on compte, en moyenne, annuellement plus de 200 000 nouveaux abonnés et plus de 1 300 000 prêts de livres.
Plus d’une centaine de nouveaux centres doit être implantée jusqu’en 2013 dans une douzaine de pays, dont cinq qui n’ont jamais bénéficié du programme auparavant.

L’Administrateur de l’OIF inaugure un nouveau réseau de Centres de lecture et d’animation culturelle (CLAC) aux Comores

Ikililou Dhoinine et Clément Duhaime (OIF)

Inauguration du nouveau réseau de Clac aux Comores (OIF)

 
17 avril 2012

Le Ministre de l’Education nationale, de la Recherche, de la Culture et des Arts, Monsieur Mohamed Issimaila et l’Administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Monsieur Clément Duhaime, ont inauguré, ce dimanche 15 avril 2012, un nouveau réseau de 4 Centres de lecture et d’animation culturelle (CLAC) implanté sur les îles autonomes de la Grande Comore, de Mohéli et d’Anjouan. La cérémonie s’est déroulée en présence des autorités nationales, des autorités locales et d’une foule considérable.

Ces 4 nouveaux CLAC, qui portent à 14 le nombre de centres répartis dans l’Union des Comores, permettent d’accroître l’accès des populations aux livres, aux publications et ressources numériques en français.

A l’occasion de cette inauguration, l’Administrateur de l’OIF a été reçu par le Président de l’Union des Comores, SEM. Ikililou Dhoinine. Ils ont notamment évoqué le rôle essentiel que jouent les Centres de lecture dans l’amélioration de la scolarité des jeunes comoriens et réaffirmé l’importance qu’ils attachent à la mise en place d’une politique nationale de lecture publique en partenariat avec l’OIF.

Pour rappel, les 295 centres de lecture et d’animation culturelle actuels sont installés dans 21 pays francophones d’Afrique, de l’Océan indien, de la Caraïbe et du Proche-Orient membres de l’OIF. En 2011, ils ont permis à 3 millions de personnes d’accéder aux livres, aux moyens modernes de communication et aux activités d’animation organisées dans les CLAC dont les moins de seize ans représentent 70% du public.
Plus d’informations sur le programme des Clac :
www.francophonie.org/-Dans-la-lecture-publique-.html

Audience dans le cadre du Fonds de Garantie des Industries Culturelles (FGIC)

Date et lieu : Mercredi 09 mai 2012, à la Direction de la Promotion Humaine et du Tourisme du District d’Abidjan (DA) face au Palais de Justice du Plateau;
Durée :   de 17h15mn à 17h45mn
Délégation :
-          M. Ahioua MOULARET, Sous-Directeur Culture et CLAC ;
Etaient présents :
M. Guy Modeste DOGBO, Directeur de la Promotion Humaine et du Tourisme (DPHT) du DA.
POINTS DE LA RENCONTRE
Après les civilités d’usage, les points suivants ont été abordés :
·        La Présentation du FGIC :
Le mécanisme du FGIC a été présenté au DPHT du DA dans tous ses aspects. Celui-ci a apprécié le fait de voir l’AICF collaborer avec le DA pour le développement de la Culture. Il suggéré qu’un atelier soit organisé pour informer et former les opérateurs culturels sur la procédure de soumission d’un projet au FGIC ainsi que tous les documents demandés par les banquiers. Sur ce point, il a été répondu qu’une tournée du FGIC a eu lieu et que nous sommes à la phase pratique pour aboutir à l’éligibilité de projets Ivoiriens.
Le DPHT du DA a fait savoir qu’il réunirait son équipe pour une sélection de projets pertinents, afin qu’on ait une séance de travail le mercredi 16 mai 2012 à 10h. Pendant ce temps, il devrait recevoir par nos soins, la documentation du FGIC par mail.
·        Le Volontariat International de la Francophonie:
Nous avons profité de cette rencontre pour présenter le VIF, avec toute la documentation nécessaire que nous avons mise à la disposition du DPHT. Vu, la date limite du 22 mai 2012, il a fait savoir qu’il diffuserait l’information au Conseil des jeunes du District, qui sera le relai par le biais de ses réseaux de faîtières.

Audience dans le cadre du Fonds de Garantie des Industries Culturelles (FGIC)

Date et lieu : vendredi 20 avril 2012, à l’Hôtel du District d’Abidjan;
Durée :   de 12h50mn à 13h30mn
Délégation :
-          M. Epiphane ZORO, Directeur Général (DG) de l’AICF (Chef de délégation) ;
-          Mme SONH gui Catherine, Directeur des Relations Extérieures à l’AICF,
-          M.SIAKA OUATTARA Idrissa, Directeur de la Coordination des Opérations à l’AICF ;
-          M. BOGUI M’Landjo Paul, Directeur Régional de la Culture et de la Francophonie Abidjan ;
-          M. Ahioua MOULARET, Sous-Directeur Culture et CLAC ;
Etaient présents :
-          M. Raoul ABY, 1er Vice-gouverneur du District d’Abidjan.
POINTS DE LA RENCONTRE
Après les civilités d’usage, les points suivants ont meublé la réunion, à savoir :

·        La Présentation du mécanisme FGIC :
Prenant la parole, le DG de l’AICF a expliqué que le constat de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) est la suivant : manque de financement des projets culturels, manque d’espaces culturels en Afrique de l’ouest, insuffisance des salles de spectacles, problème d’accessibilité aux crédits bancaires, Insuffisance de points de distribution de produits culturels, aucun opérateur ivoirien n’en a bénéficié, etc. Face à cela l’OIF va œuvrer à la mise en place du FGIC avec la Banque d’investissement et de Développement de la CEDEAO (BIDC). Ce fonds garantit 80%  des crédits accordés par les banques aux opérateurs culturels. C’est une opportunité qui doit être identifiée et présentée aux acteurs du développement de la culture. L’AICF a donc, dans un premier temps, ciblé des collectivités territoriales que sont le District d’Abidjan, la Commune de Yopougon  et la Commune d’Abobo. L’intervention des collectivités locales est importante car, en soutenant cette initiative francophone, elles contribuent à la réduction de la pauvreté et au développement de leur localité. Pour faciliter l’éligibilité des projets culturels ivoiriens, dans sa stratégie d’encadrement, l’AICF a pris attache avec un notaire et un expert en entrepreneuriat pour avoir des projets bancables et rentables assortis de plans d’affaires sans la constitution de la société qui doit postuler. La collectivité qui dispose d’un projet peut s’associer à un opérateur privé pour constituer une holding. Il revient donc à la collectivité d’identifier des opérateurs privés confiants et capables de piloter un projet dans toute sa démarche. Le DG de l’AICF a continué en précisant que le FGIC s’adresse à l’espace économique francophone et est sous-tendu par un esprit d’affaires et rentabilité. L’artiste, dans cette optique est un produit culturel qui doit rapporter de l’argent.
 Après cette présentation faite par le DG de l’AICF, le 1er Vice Gouverneur a marqué sa satisfaction devant cette démarche de l’AICF. Le District à son niveau, réfléchit à un fonds de développement des projets et procède aussi à la recherche de financement pour certains de ses projets tels que le « canal aux bois » et le « carnaval de la ville d’Abidjan ». Il reçoit toujours des demandes de subvention provenant d’artistes et la plus récente est celle de la prise en charge de la restauration des artistes dans le cadre du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA 5), mais avec le FGIC, la prospection et l’identification seront faites pour présenter des projets. Ils s’attèleront à orienter les opérateurs culturels vers le fonds.  Le 1er Vice Gouverneur a aussi suggéré une promotion télé et  radio, vu l’importance de fonds pour le développement des industries culturelles en Côte d’Ivoire. En outre, ce fonds va permettre une professionnalisation des secteurs et métiers de la culture.
Le DG de l’AICF a repris la parole pour dire que, la promotion se fera à la fin du processus (incluant les promoteurs, les banques, les notaires), lorsque les projets identifiés auront été soumis et éligibles au FGIC. Pour l’heure, il convient de désigner un point focal au District, qui travaillera avec le chargé de projets FGIC de l’AICF, M.MOULARET, pour réfléchir ensemble aux projets susceptibles d’être présentés par le District et portés en association avec un opérateur privé.
·        La subvention du District d’Abidjan dans le cadre des Journées de la Francophonie :
A ce niveau, Le DG de l’AICF a remercié le District pour les subventions accordées chaque année à l’AICF dans le cadre des journées de la Francophonie ; sauf que cette année la subvention n’est pas encore arrivée.
Sur ce point, Mme SONH GUI a expliqué que depuis toujours, la subvention est logée au budget du district ; et les factures des prestataires étaient apportées au District pour le règlement.
Le DG de l’AICF a donc demandé la possibilité d’une réforme de sorte à mettre les fonds directement à la disposition de l’AICF pour gérer elle-même les fournisseurs.
Le 1er Vice Gouverneur a demandé à ce qu’un courrier soit adressé au District pour signifier la situation. En attribuant directement la subvention à l’AICF cela faciliterait les choses pour chacune des parties.

Audience à la Mairie d’Abobo dans le cadre du Fonds de Garantie des Industries Culturelles(FGIC)

Date et lieu : vendredi 20 avril 2012, à la Mairie d’Abobo;
Durée :   de 11h00mn à 11h45mn
Délégation :
-          M. Ahioua MOULARET, Sous-Directeur Culture et CLAC ;
-          M. BOGUI M’Landjo Paul, Directeur Régional de la Culture et de la Francophonie Abidjan ;
Etaient présents :
-          Mme BARRO Mahoussa, Directrice du Service socioculturel et de la promotion humaine de la Mairie d’Abobo ;
-          M.WAGUE Adama, Responsable de projets et du Programma d’action Sanitaire d’Urgence (PASU) à la Mairie d’Abobo ;
-          M.COULIBALY Lepienhin, stagiaire.
POINTS DE LA RENCONTRE
Après les civilités d’usage, les points suivants ont meublé la réunion, à savoir :
·        La Présentation :
Après avoir remis la documentation sur le FGIC, M. MOULARET a présenté l’objet de la visite qui s consisté à donner l’information relative au FGIC. Il a fait l’historique de ce fonds et a mis l’accent sur la nécessité pour la Côte d’Ivoire de bénéficier de celui-ci. En outre, il a expliqué la démarche de  l’AICF qui se traduit par l’implication des collectivités territoriales pour le développement des industries culturelles. Elles participent ainsi à la réduction de la pauvreté et au développement local.
·        L’intervention de M.BOGUI :

Il a sollicité l’intervention et l’implication du service socioculturel de la Mairie d’Abobo afin de bien mener cette initiative de la Francophonie. Connaissant mieux les acteurs de la localité, il doit un partenaire dans ce projet et à son niveau, il est associé pour une plus grande efficacité, par une synergie d’action des services socioculturels du District d’Abidjan et un suivi des projets retenus dans le cadre du FGIC.
·        L’intervention des agents de la Mairie d’Abobo :
Mme BARRO, a estimé que l’initiative étant pertinente, il serait opportun de réunir les opérateurs et leur expliquer le mécanisme FGIC. La plupart des opérateurs qui s’adressent à la Mairie, ont des projets individuels, alors que le FGIC s’adresse aux entreprises légalement constituées pour des projets à impact social. Elle a estimé que l’AICF entre dans cette vision importante à savoir que la culture doit aller vers les populations. Aussi, un procès verbal de la réunion sera établi pour rendre compte aux supérieurs et voir la suite à donner à cette visite.
Pour Monsieur WAGUE, il a été question de voir la faisabilité de la chose car, la constitution d’une société impose des frais souvent très lourds pour les petits opérateurs. Aussi face à la piraterie qui gangrène le marché de la culture, quelles mesures appropriées prendre pour rassurer les opérateurs ?
·        L’intervention de M.MOULARET :
Face à ces interrogations, il a été répondu que le FGIC est une vision du Directeur Général de l’AICF qui en a mesuré tous les contours. C’est ainsi qu’il s’est attaché les services d’un notaire et d’un expert en entrepreneuriat pour faciliter la démarche des opérateurs pour monter des projets bancables et des plans d’affaires qui dégagent la rentabilité des projets soumis. Dans le cadre de l’assistance technique de l’AICF, des mesures sont prises. Aussi, les opérateurs doivent savoir que dans le cadre du FGIC, il s’agit d’une affaire de business et par conséquent, ils doivent aspirer à une situation beaucoup plus formelle.
Par ailleurs, la piraterie est un phénomène qui doit être combattu dans le cadre d’un plan national de lutte contre la piraterie qui implique tous les secteurs et toutes les entités de la société ivoirienne ; cette lutte doit prendre des actions de dissuasion et de répression sur toute la chaîne des industries culturelles.

lundi 14 mai 2012

Certaines personnes ne reconnaissent jamais ce qu'on fait ou ce qu'on a fait pour elles. Ce sont des ingrats. je devrai monter une pièce de théâtre avec ce titre.

lundi 7 mai 2012

Et la France choisit son Président

François Hollande élu Président


Il a fallu du temps et du suspens mais les sondages n'ont pas menti; la volonté des français s'est affirmée en faveur de cet homme qui devra présider aux destinés de ce pays pour les 5 prochaines années.

Après 3 mandats successifs de la droite, la gauche revient au pouvoir en portant sur ses épaules les lourds fardeaux et les grands espoirs des français, qui comme tous les peuples revendiquent la liberté, la paix, la démocratie et le maximum de bien-être.

Attendons pour voir, car, la sanction de la gestion Hollande tombera en 2017.

vendredi 4 mai 2012

Quel Président pour la France?

Le mercredi soir, nous avons assisté à une joute oratoire de deux hommes en pleine bataille pour l'Elysée, on attend de voir qui sera l'heureux élu le dimanche soir. Suivez mon regard!!!!!

Cérémonie de Lancement de la 12ème édition du festival de court métrage dénommé CLAP IVOIRE


Date et lieu : Jeudi 19 avril 2012, au Cinéma Lafontaine de SOCOCE;

Durée :   de 16h45mn à 18h45mn

Organisateurs : Office Nationale du Cinéma de Côte d’Ivoire (ONACCI), un EPIC sous tutelle du MCF.

Délégation : M. Ahioua MOULARET, Sous-Directeur Culture et CLAC.

Etaient présents :

-          Les responsables des structures sous tutelle, certains Directeurs du Ministère de la Culture et de la Francophonie (MCF) et responsables socioculturels des collectivités territoriales ;

-          Les étudiants de l’INSAAC ;

-          Les étudiants de l’ISTC ;

-          Les étudiants du Centre des Métiers du Cinéma (CMC).

POINTS DE LA CEREMONIE

Les points suivants ont meublé la réunion, à savoir :


  • La projection de quelques films :

Avant l’arrivée de Monsieur le Ministre de la Culture et de la Francophonie (MCF), deux (2) films ont été projetés, à savoir :

-          « L’œuf de la trahison », de Maryam KAMISSOKO, film lauréat de CLAP IVOIRE 2009 ;

-          « Une Journée d’enfer », de Ingrid Sodzine AGBOA, film lauréat de CLAP IVOIRE 2010.


  • L’intervention du Dr. KITIA TOURE, Directeur Général de l’ONACCI :

Dans son mot de bienvenue, le DG de l’ONACI a signifié sa fierté de voir la salle pleine car cela témoigne d’une relève en l’existence de futurs cinéastes en Côte d’Ivoire. Il a annoncé aussi que ce jour marquait l’anniversaire de monsieur le MCF ; lequel a présidé la 11ème édition et préside encore la 12éme édition de CLAP IVOIRE. Il a poussé son engagement jusqu’à l’ouverture d’un fonds de garantie à la Banque Régionale de Solidarité (BRS) pour les industries culturelles en général et le Cinéma en particulier. CLAP IVOIRE a été créé et a fonctionné dans la douleur. Les doyens du cinéma ivoirien ont dû s’en éloigner, vu les difficultés du secteur (Timité Bassori, Gnoan M’bala, Kramo Lanciné, etc.). Alors que le cinéma est une industrie qui rapporte de l’argent et a des retombées énormes. D’où les encouragements du DG de l’ONACCI à M. le MCF quant à soutenir le cinéma en Côte d’Ivoire.

  • La Projection d’un film :

Avant l’intervention du MCF, un film a été projeté ; il a pour titre « le voile déchiré » de Eudes Pokou, lauréat de CLAP IVOIRE 2011

  • L’intervention de Monsieur le MCF :

Le MCF a fait ressortir la nécessité d’une relève dans le domaine du Cinéma pour éviter qu’il meure. L’absence d’une politique du cinéma a privé notre pays non seulement de cinéastes, mais aussi de leur talent. Le Cinéma nécessite de l’énergie et de la jeunesse d’où la fierté qu’inspire ONEL Brown et jean Hubert Nankam.

Le MCF veut œuvrer à la relance du cinéma ivoirien pour que les cinéastes ivoiriens soient présents à Cannes, au FESPACO, à Marrakech, à Carthage, à Tokyo, etc.

L’ONACCI est née pour développer le secteur. Et celui qui est sa tête est Docteur en la matière, donc enseignant et fonctionnaire. Il allie ainsi la production, l’enseignement et l’administration. C’est un grand cadre qui a fait ses preuves et a participé à tous les grands festivals.

Dans le Cinéma, il faut créer, produire, diffuser et passer à la sélection, car il faut des produits de qualité. C’est à ce titre qu’on devient cinéaste. Et CLAP IVOIRE est une plate forme d’expérimentation et de confrontation. Les écoles forment, les stages de formation perfectionnent et il faut être sur le terrain. En raison des ambitions qu’elle a, la Côte d’Ivoire veut faire de la culture une industrie. Aujourd’hui, il faut être une entreprise avec un projet bancable et un plan d’affaires, sans oublier le mangement. Ce jour a vu la conclusion d’une convention avec la BRS pour y domicilier un fonds de garantie qui doit couvrir d’ici un à deux ans les besoins de productions de un à trois milliards. L’ONACCI doit susciter des scénarios et faire des films présents au prochain FESPACO. Dans les jours qui viennent, l’argent sera déposé à la BRS ; Il faut souscrire avec une recommandation du MCF. Aussi, l’argent doit produire l’argent, selon la vision du Président de la république. Il faut travailler selon les règles avec l’espoir d’avoir de grands cinéastes.

La cérémonie de lancement de CLAP IVOIRE a pris fin par la remise symbolique du CLAP à monsieur le MCF qui a proclamé « c’est parti ! » et un cocktail a été servi.