Mme ADO, présidente de l'ONG children of Africa vient de poser un acte fort en faveur de la promotion du livre et de la lecture en Côte d'Ivoire. En effet, un bibliobus vient d'être offert par son ONG dans le but d'encourager la lecture chez les tout petits. Cet acte quoique teinté d'ambitions politiques avérées est à saluer et à encourager. Ainsi, les enfants d'Abobo d'abord puis des différentes communes du district d'Abidjan verront circuler cette bibliothèque ambulante dont le fonds est estimé à 500 documents textuels, non textuels et filmiques pour une valeur totale de 80 millions de FCFA. Les enfants ont là l'aubaine de se rapprocher du livre, valeur fondamentale à leur épanouissement socioculturel.
La Côte d'Ivoire connaît d'énormes difficultés dans sa politique du livre et mérite que les acteurs sociaux à la base puissent s'impliquer pour améliorer la situation encore léthargique.
Cet acte pose la problématique de la recherche à l'essentiel. En effet, pour ce pays en voie de développement, l'objectif primordial demeure la sortie de cette situation de sous-développement mais surtout la sortie de la crise que connaît actuellement le pays. Quel est l'essentiel pour nous? Est-ce la conquête et l'exercice du pouvoir ou l'amélioration de nos conditions d'existence? Est-ce le verbalisme creux à gorge déployée à toutes les sphères de a vie publique? On se focalise sur des débats qui n'en valent pas la peine et la pauvreté demeure la chose la mieux partagée à tous les niveaux.
En tant que professionnel du livre, je salue ce geste qui permettra à plus d'un enfant de savourer les joies de la lecture et d'éviter, par la connaissance acquise dans les livres, de grandir dans le faux, le mal et le laid.
Ce genre d'actes, vraiment on en redemande. C'est une belle leçon adressée à tous les citoyens ivoiriens. Chacun à son humble niveau et fière de son statut social peut contribuer au bon-vivre ivoirien, apporter sa pierre à l'édifice sans pour autant désirer la magistrature suprême.
La Côte d'Ivoire connaît d'énormes difficultés dans sa politique du livre et mérite que les acteurs sociaux à la base puissent s'impliquer pour améliorer la situation encore léthargique.
Cet acte pose la problématique de la recherche à l'essentiel. En effet, pour ce pays en voie de développement, l'objectif primordial demeure la sortie de cette situation de sous-développement mais surtout la sortie de la crise que connaît actuellement le pays. Quel est l'essentiel pour nous? Est-ce la conquête et l'exercice du pouvoir ou l'amélioration de nos conditions d'existence? Est-ce le verbalisme creux à gorge déployée à toutes les sphères de a vie publique? On se focalise sur des débats qui n'en valent pas la peine et la pauvreté demeure la chose la mieux partagée à tous les niveaux.
En tant que professionnel du livre, je salue ce geste qui permettra à plus d'un enfant de savourer les joies de la lecture et d'éviter, par la connaissance acquise dans les livres, de grandir dans le faux, le mal et le laid.
Ce genre d'actes, vraiment on en redemande. C'est une belle leçon adressée à tous les citoyens ivoiriens. Chacun à son humble niveau et fière de son statut social peut contribuer au bon-vivre ivoirien, apporter sa pierre à l'édifice sans pour autant désirer la magistrature suprême.
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