Je me pose très souvent cette question car quand je lis la situation de mon pays, je me demande vraiment si nous sommes prêts pour la paix en côte d'ivoire?
Le débat politique pendant est celui du désarmement des rebelles avant ou après les élections. Sans entrer dans des considérations politiciennes, la question se pose de savoir si l'on peut valablement organiser des élections avec des individus armés de l'autre côté de la ligne de front?
A entendre, ADO l'accord politique de ouaga n'a jamais parlé de désarmement mais de cantonnement. Or le point 5.2 de cet article dispose clairement que l'on procèdera à la réunification, au désarmement et aux élections. En outre, tous les autres accords auraient réussi si les assaillants avaient accepté selon leurs termes de désarmer.
Une personnalité ivoirienne disait: "un pied dedans, un pied dehors, c'est dehors". Le processus a commencé en accusant la bonne foi des protagonistes de la crise ivoirienne et il faut aller jusq'au bout. Les rebelles ne vont pas se laisser prendre au piège de la France encore une fois. Cette france dont nous les ivoiriens connaissions l'implication dans cette crise au plus haut degré.
Pour la paix en Côte d'ivoire, il faut désarmer, et nous ivoiriens levons-nous pour réclamer le désarmement car la France ne nous lâchera pas vu notre position stratégique en Afrique de l'ouest. Et cette situation n'est pas prête de venir à son terme mais on en sortira vainqueurs et grandis.
Vaillants patriotes continuons la lutte!
Le débat politique pendant est celui du désarmement des rebelles avant ou après les élections. Sans entrer dans des considérations politiciennes, la question se pose de savoir si l'on peut valablement organiser des élections avec des individus armés de l'autre côté de la ligne de front?
A entendre, ADO l'accord politique de ouaga n'a jamais parlé de désarmement mais de cantonnement. Or le point 5.2 de cet article dispose clairement que l'on procèdera à la réunification, au désarmement et aux élections. En outre, tous les autres accords auraient réussi si les assaillants avaient accepté selon leurs termes de désarmer.
Une personnalité ivoirienne disait: "un pied dedans, un pied dehors, c'est dehors". Le processus a commencé en accusant la bonne foi des protagonistes de la crise ivoirienne et il faut aller jusq'au bout. Les rebelles ne vont pas se laisser prendre au piège de la France encore une fois. Cette france dont nous les ivoiriens connaissions l'implication dans cette crise au plus haut degré.
Pour la paix en Côte d'ivoire, il faut désarmer, et nous ivoiriens levons-nous pour réclamer le désarmement car la France ne nous lâchera pas vu notre position stratégique en Afrique de l'ouest. Et cette situation n'est pas prête de venir à son terme mais on en sortira vainqueurs et grandis.
Vaillants patriotes continuons la lutte!
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