CONCLUSION
On
retient en définitive que la culture, dans ses fonctions d’information, de
formation et de divertissement ne doit
pas échapper à la valorisation de son potentiel qui est fort. Il est possible
en Côte d’Ivoire de faire de la Culture, un facteur principal de développement.
Il suffit d’avoir les hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Il faut vraiment
que ça change pour inscrire la culture dans les lettres d’or du développement
durable ivoirien et faire de cette nation une référence en matière de culture.
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